• 14/2/16

    Quand les sucs le soir s’exhalent
    Le noyer s’appuie en songe
    Au tertre où rampent des feux
    A la vigne vendangée

    La vie a joint ses douleurs
    Au souffle ému de la grâce
    Les deux mains du paysage
    Sur la veilleuse intérieure

    Gérard Bocholier (in revue Ce qui reste)


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