• La Terre a perdu la moitié de ses animaux sauvages en quarante ans.
    Pour ma part, dans ce laps de temps, j'ai blessé un sanglier -
    c'était un accident.
    Et si j'ai porté un bracelet en ivoire, certainement mangé et utilisé des produits ayant causé la mort des bestioles, j'en demande pardon au monde nouveau.


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  • Ma chère Frangine,

    Dans les chênes, les bouleaux
    une douceur de vent
    le ciel rouge de l'aube n'a pas tenu sa promesse de pluie
    Conversations avec le Chercheur, à propos de l'amour et son devenir, nous en parlons comme si nous étions des sœurs.
    J'apprécie sa grande foi, moi j'ai le cœur fermé.
    Il trouvera sa princesse, je travaille la question.
    Félicite pour moi Filleule-de-l'amour, ce n'est pas rien d'avoir son code.
    J'aurais souhaité la même chose pour la vie, tu passes le code, la conduite, et tu prends la route en connaissant les règles.
    Tu m'expliqueras pourquoi vous avez baptisé votre jardin partagé La Baleine ? Jonasz ? Celui qui avait vingt-cinq ans en l'an 2000 ?
    Paname me manque.
    Que les souffles d'Eole te soient doux.
    Bien à toi.

    Peace and be wild.
    Lady Day, touriste.

    P.S. Thérésa et Patrick s'embrassent enfin à la fin de la saison 6, cela leur a pris 132 épisodes - comme quoi l'amour a tout son temps (lui aussi).


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  • LES ANGES ONT PARFOIS DES NOMS DE TRAIN

    Hélène Dassavray

    Épisode précédent

    Tous les épisodes

    Épisode 33

    Le nom de Franz (2)

    Nous avons peu dormi mais serrés les uns contre les autres. Les bougies ont tenu toute la nuit. Le matin est d'une indécente luminosité.
    Nous avons décidé d'aller dire au revoir à Franz.
    Mina et moi sommes les dernières à sortir, Mina s'arrête dans la cour et lève la tête
    - Tu ne sens rien ?
    Je regarde le ciel, je reconnais cette lumière.
    - Il va neiger !
    - Tu remontes vite chercher les paillettes ?

    Lire la suite...


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  • Une chanson dans un film
    Combien je regrette
    mon bras si dodu
    ma jambe bien faite
    et le temps perdu
    Ensuite il faut manger du chocolat

    A la tablée du soir, conversation à propos de la sociocratie, puis du monde qui se ferme (des amies avaient prévu un voyage au Maroc annulé pour cause de terrorisme), on parle aussi de la voie, des voies, du chemin, de la route, puis du monde qui s'ouvre…


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  • T'inquiète mobylette
    il y aura toujours des amis pour les tablées
    des crooners à la radio
    des hommes honnêtes
    des ciels en couleurs
    des anges à naître
    des vaches dans les prés
    des femmes réjouies
    et les dialogues d'Audiard


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  • L'automne
    avance en douce
    entrouvre l'équinoxe
    et tamise la lumière


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  • Où il est question de collectivité, de responsabilité, où l'on résume la conversation du soir avant d'aller se coucher après une journée de pluie qui a eu sa part de magie et de poésie :
    Ne nous voilons pas la face.


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  • L'hiver arrive, et nous sommes de la garde de nuit.

    Prêtez-moi deux neurones
    ce n'est pas que j'en manque
    mais ils sont impliqués
    dans de sales affaires
    les vôtres n'ont pas servi
    lorsque vous m'élisiez
    Prêtez-moi deux neurones
    j'en ferai bon usage
    une fois à l'Elysée
    promis je les rendrai
    peut-être au centuple
    sûr défiscalisés
    (Tacite)

    Le bonheur est le simple accord entre un être et l'existence qu'il mène.
    (Albert Camus)


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  • Des photos, des psychologies, et une philosophie.

    Tablée de pirates chez Capitaine Sensible, la conversation fait le tour du monde et des voyages que l'on rêve ensemble.
    Après-midi à retranscrire des interviews pour un livre, dehors, au soleil, avec la musique des voisins – saxo puis reggae.
    Arrivée de Tata et Tonton Reporter les bras chargés de cancoillotte, de comté, de saucisses de Morteau.
    Le Chercheur retape ses chaussures avant de prendre à nouveau la route.
    Nous parlons, comme souvent, des relations entre les hommes et les femmes, de l'autre, de l'autre miroir, quelqu'un dit je suis joli quand je te regarde.
    A la cigarette digestive, on raconte le Paysan voisin qui, sur les conseils de deux vendangeurs polonais invente un vin d'aubépine, rigolade sur le dos de l'aubépine et ses allitérations, ses bonheurs matutinaux.
    Le Chercheur transmet une formule : Être plus pour gagner plus.

     


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  • LES ANGES ONT PARFOIS DES NOMS DE TRAIN

    Hélène Dassavray

    Épisode précédent

    Tous les épisodes

    Épisode 32

    Le nom de Franz


    Il est décidé que nous restions là pour l'instant, en attendant Coco. Nous sortirons plus tard assister à un concert dans un bar.
    Nous parlons de l'amour, le sujet de conversation le plus passionnant que je connaisse. Chacune a sa théorie.
    - L'amour c'est un instant magique.
    - C'est un choix.
    - C'est un vase communicant.
    - C'est une compatibilité de pathologies.
    - C'est le meilleur.
    - C'est le bordel.
    - C'est le meilleur bordel.

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  • Une oreille d'éléphant pèse 45 kg
    60 milliards de neutrinos nous traversent chaque seconde
    L'escroc revient


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  • Photos et vidéos du jour, une philosophie et une projection.

    Une grosse voiture, silencieuse et confortable, fend le vent.
    Dedans, Lulubelle, moi, et la rigolade.

    Sur la terrasse d'une maison couleur du soleil, une table.
    Sur la table, des feuilles, des stylos, un ordinateur, un cendrier, des tasses.
    Autour de la table, Flore, Lulubelle, moi, un scénario et des rigolades.
    Dans la maison dort un trésor vieux de cinq jours.

    Un fauteuil dans le salon, Flore dans le fauteuil, Solal dans les bras de Flore.
    L'image, ancestrale, universelle, le visage de la mère nourrissant son enfant.
    (si nous sommes créateurs du monde qui nous entoure, c'est peut-être bien d'ici que lui vient sa beauté)

    Aime tout le monde, crois en quelques uns et ne fais de mal à personne.
    (William Shakespeare)

    Quand il aura de la barbe, je dirai en riant à Solal que j'ai changé sa couche lorsqu'il avait cinq jours, et que c'était comme un cadeau.


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  • Ma chère Frangine,

    Dans le vent
    et l'été
    l'intensité
    et le présent.
    Toutes les cartes, les anges, les oracles, disent la même chose à chacun,
    Le Chercheur résume : c'est la maison du lâcher prise.
    C'est peut-être pour cela qu'il se fait une fièvre, il tremble de froid et a le front brûlant.
    (Coloc Bingo et moi sommes des infirmiers du strict minimum)
    Tu écris que lorsque tu pleures tu te sens plus humaine, je te ferai dire que c'est le rire qui nous est propre.
    Cela noté, de quelque manière que ce soit, l'important est de lâcher prise…
    Je te vois bien écouter tes plantes pousser dans ton jardin parisien, ici je viens de découvrir un squatteur inattendu et vaillant : un lierre sur le mur du Nord.
    (le lierre au Nord, les tournesols au Sud, si nous sommes créateurs du monde qui nous entoure, son désordre ne vient pas d'ici)
    Que tes rêves te soient doux.
    Bien à toi.

    Liberté, équité, franginité.
    Lady Day, détendue.

    Aujourd'hui c'est poésie en pièce jointe

    P.J. Le signe et l'ascendant

    Je suis l'illettrée
    la sans dent
    la vermine qui grouille
    pour vous servir
    mes bon maîtres

    touchez ma bosse

    (Tacite)


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  • Un diagnostic, un constat, et une capture d'écran.

    Personne n'est paresseux, souffre tout au plus de quelque déficience de la motivation.

    Par ailleurs et juste pour dire, deux noms de femmes sur 303 stations de métro parisien …
    dont une associée à son mari.
    (Louise Michel, sur la ligne 3, et Pierre et Marie Curie, sur la ligne 7)

    Je regarde une interview de Jeanne Moreau, elle dit je suis à un âge où je n'ai plus peur de rien, ses yeux pétillent.


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  • Deux photos, un constat, une actualité, et une vidéo.

    Au début du jour, par la porte fenêtre du bureauchambre, vue sur la prairie et, au fond, une partie du potager.
    Celle où Coloc Bingo a planté des tournesols.
    (3m de haut – au bas mot)

    De retour de Zaï, sur la petite route, à la tombée de la nuit,
    dans la lumière des phares, à deux mètres de moi, traverse tranquillement un renard, le bout de sa queue blanche.
    (consultation des cartes à l'arrivée : La médecine de Renard nous engage à examiner tous les usages possibles de l'unité harmonieuse.)

    Tout les lundis, ou presque, je balaie devant ma porte.

    Une pensée pour Braveheart en entendant parler d'un british referendum.

    La nuit noire, portes et fenêtres ouvertes,
    le voisin donne un concert au saxophone.
    (si nous sommes créateurs du monde qui nous entoure, ce n'est pas d'ici que lui viennent ses fausses notes)


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  • Deux arrivées, un constat, et de la critique de livre

    Bienvenue Alice et Solal,
    Comme des promis, vous êtes arrivés le même jour, à la même heure.
    (à quelques centaines de kilomètres de distance)
    Ce monde est dingue, mais vous verrez la vie est belle.
    Que la Force et la Poésie soient avec vous.

    La grève à Air France ne me dérange pas du tout. Allez-y les gars !

    Il n'est ni bien ni mal écrit, il est maladroit, plein de ressentiment, parfois impudique, il est une bêtise du point de vue politique, il peut même paraître indigne, et pourtant il m'a touchée.
    Il circule en pdf, est arrivé dans ma boîte mail, et je l'ai lu.
    Il a été un sujet de discussion avec nombre de mes amis, l'avis général est que cette femme a voulu se faire du pognon, ou se venger d'un homme qui l'a mondialement humiliée, qu'elle n'est pas assez intelligente pour jouer dans la cour des grands.
    C'est possible.
    Ce que je sais c'est que bien qu'elle vive à des années lumière de ma réalité, j'ai lu le livre d'une femme blessée, et son humanité ne m'était pas étrangère.


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  • LES ANGES ONT PARFOIS DES NOMS DE TRAIN

    Hélène Dassavray

    Épisode précédent

    Tous les épisodes

    Épisode 31

    Changement de programme (2)

     

    Elles tiennent à ce que je raconte mon exil, dans ce sens là je trouve les mots :
    - Ma mère pleure en faisant la vaisselle et mon père aboie sur elle, moi j'attends que la caravane passe …
    Elles aiment beaucoup la copine de Catherine et son délire sur les prénoms, elles étudient la question:
    - Je dirais que les Coco sont de drôles d'oiseaux.
    - Que les Marc sont aimables.
    - Les Patrick sympathiques.
    - Les Francis rebelles.
    - Les François dangereux.
    - Les Jean-François amoureux.
    - Les Franz perdus…
    Elles ne savent pas non plus pour les Bertrand.

    Lire la suite...


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  • Un dîner en ville,
    à la campagne,
    une tablée de la cinquième dimension,
    où l'on s'écoute, s'entend, se parle,
    cash.
    Quelqu'un s'étonne de ces hommes qui conversent presque davantage que les femmes et avec autant d'abandon – c'est comme cela dans le monde nouveau.

    Quelques sujets abordés, la solitude, mon succulent saumon au chèvre, le désir, les livre, les hommes et les femmes, le vin blanc, la droite et la gauche, les blessures, les fils aînés, la Creuse… et beaucoup de rigolades.

    Dans une autre vie
    je serai une conversation
    entre amis
    profonde et rieuse
    je serai accompagnée d'un vin bio
    - et local


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  • Ma chère Frangine,

    Septembre le tendre
    et ses journées de miel.
    C'est le temps des projets et des résolutions.
    Deux tempêtes solaires, paraît-il, sur nos têtes,
    tant que le ciel reste bien accroché…
    Le Chercheur répare la porte de la salle de bains, et améliore l'ergonomie défécatoire (il râlait comme toi de ce siège trop bas), Coloc Bingo toilette la prairie, je tente de me motiver pour le ménage d'automne, mais je rêvasse, je lis, disons que je consolide mon espace intérieur.
    (j'esquive les tempêtes de soleil)
    Je me pose des questions, personne pour me dire si ce sont les bonnes.
    Je ralentis le monde, c'est déjà pas mal.
    J'ai plaisir à lire les nouvelles de Paname, je suis désolée pour tes plantations, ces pigeons parisiens, gras comme des poulets, se croient décidément tout permis.
    (cela me fait penser à ces personnes qui ont pris le pouvoir et nous gouvernent, ils sont gras et osent tout, pareillement (sauf que ce ne sont pas eux les pigeons))
    Que le cosmos te soit doux
    Bien à toi.

    Love, peace, and be wild.
    Lady Day, sous parasol.

    Une phrase du jour en pièce jointe

    P.J. L'excellence sinon rien.
    (Blondie)
    (conversation de femmes à propos des relations amoureuses (c'est le temps des projets et des résolutions))

     


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  • Deux photos du jour (animalier), trois tuyaux, et un poème

    Au pied de mon lit, une minuscule grenouille.
    (on dirait un jouet)

    Sur la petite route derrière la gare à Tuisper, à la sortie du pont moussu, le câble électrique (ou téléphonique, je ne suis pas du métier) qui traverse la route.
    Sur le fil, à toute vitesse, un écureuil.

    A la tablée, chacun donne ses phrases magiques :
    Si ce n'est pas réglé dans deux jours, je change de fournisseur…
    D'après l'association de consommateurs dont je fais partie…
    Selon mon conseil…

    Dans une autre vie
    je serai une guerrière pacifique
    joyeuse solide et effrontée
    j'aurai une science infuse de la nature
    des grands yeux noisettes
    et un karma du feu de dieu


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  • Un conseil et un poème.

    Amis squatteurs, dans le cinquième arrondissement de Paname, vous ne vous faites pas virer si vous ne payez pas votre loyer pendant trois ans (on vous élit député même).

    Dans une autre vie
    je serai chauffeur de bus,
    j'écouterai RMC, NRJ, ou Skyrock,
    et personne n'aura le droit de me parler.


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  • Les chômeurs veulent un renforcement des mesures pour mieux contrôler l’efficacité du ministère du Travail
    (Benoist Magnat)

    Conversation avec la Fée du bureau d'à côté, elle me donne de la force.
    La force des femmes.

    Rigolades autour de la table sous la tonnelle,
    la nuit tombe doucement,
    la pleine lune lui dispute la lumière,
    de fil en aiguille nous faisons découvrir Gotainer à l'Etudiant,
    il dégaine Jean Ferrat.
    Ensuite il nous fait planer avec King Krule, puis c'est Tarmac, Dr John, Oxmo …
    une tablette 7 pouces sur la table,
    des hululements dans le chêne au bout de la prairie.


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  • Deux constats et quelque chose lue je ne sais plus où

    Si je ne m'abuse (et rien qu'ici)
    Des ministres quittent le gouvernement pour désaccord
    un ministre socialiste ovationné par le syndicat des patrons
    un secrétaire d'état qui ne déclare pas ses impôts
    un ancien président qui deale de la coke (en gros)
    la vie privée du présent étalée sur la place publique
    etc.

    Dans la prairie, les gouttes de rosée reflètent les dernières étoiles.

    Là où je porte mon attention, je donne force et pouvoir.


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  • LES ANGES ONT PARFOIS DES NOMS DE TRAIN

    Hélène Dassavray

    Épisode précédent

    Tous les épisodes

    Épisode 30

    Changement de programme


    Passeport et étrennes en poche, il ne me restait plus qu'à organiser l'évasion et surtout trouver le courage, en connaissance de cause, de leur faire tant de mal.
    Il y avait un disque, rayé à force, qui me donnait de la puissance, Lavilliers et ses barbares venaient à sa rescousse : N'appartiens jamais à personne… Et puis, pour que disparaissent mes ultimes doutes, il me suffisait de penser à la vie auprès de Mina. Chez mes parents chaque jour était identique, chez Mina c'était toujours une surprise. Pour une fois je sais ce que je veux.
    Pour gagner du temps, j’ai dit que je dormais chez Catherine où j’avais caché mon sac. Je laisse ma chambre propre et rangée et une dernière question : que vont-ils faire de cette pièce mauve, une autre chambre pour des amis fantômes ?
    Je ne laisse pas de lettre, je n'ai rien trouvé à dire.

    Lire la suite...


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  • Une photo et un poème du jour.


    Dans la cuisine, l'Etudiant et un ami affairés à la préparation du repas,
    à la table ronde, quatre jeunes filles attablées attendent.

    Dans une autre vie
    je serai mère de Dieu,
    je lui apprendrai la modestie, la relativité, et l'hygiène,
    je l'aiderai à faire ses devoirs,
    pointilleuse sur certaines matières,
    notamment la création d'univers.
    (j'aurai son avenir à cœur)

     


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  • Aux nouvelles poétiques
    le départ d'une dame
    croisée un jour
    furtivement
    remarquable d'élégance
    des êtres parfois ainsi
    ont une présence
    dont on sait que l'on se souviendra
    nous ne devrions pas
    être avares de remerciements
    pour leur existence


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  • L'été indien promis par Guerrière Pacifique
    nous fait de belles journées.

    Vers deux heures du matin,
    un cri perçant dans la prairie,
    un oiseau fait grincer
    la porte de la nuit.


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  • Sujets de conversations à la cigarette digestive et quelque chose lue je ne sais plus où

    La marge, puis la marge de la marge, Yogi-les-bons-tuyaux et sa façon d'être pleinement qui il est, la décadence sociétale (on écrit des livres sur le lit du président du pays - et on en parle (partout)), le raisin presque mûr, le vin de l'année, l'amour et ses conjonctures, le canapé que Rocky vient d'acheter pour son nouvel appartement au village, les drapeaux de prière tibétains (cadeau de voyageurs de retour du Népal) que Le Chercheur a hissé à la place du smiley (effiloché jusqu'aux yeux), les facteurs, leurs incidences, ce que nous cautionnons en achetant un t-shirt made in China, l'envers du décor, le désir, le temps qu'il fait, et le monde comme il va.

    Malgré toutes les ressemblances, toute situation de vie a, comme un nouveau-né, un visage unique, qui n'a jamais existé auparavant et que l'on ne retrouvera jamais plus. Elle appelle une réaction qui ne peut être préméditée. Elle ne demande rien qui appartienne au passé. Elle appelle une présence, une responsabilité. Elle appelle l'être tout entier.
    (Martin Buber)


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