• 21/4/16

    La mer amarrée au sang des hommes, des femmes et des enfants.
    Combien encore avant que le vent se soulève ?
    Les seigneurs de nos jeunes années quittent la scène à tour de rôle.
    Alors accrocher au jour le regard du lilas ou du chien,
    et celui de la lune debout dans la nuit,
    manger ce que l'on peut à toutes les lumières.
    Rejoindre Otis assis sur le quai de la baie.


  • Commentaires

    1
    Gratianne
    Jeudi 21 Avril 2016 à 23:54

    Les peines du jour, la barbarie du monde 

    la révolte qui gronde, ta plume subtile les adoucis du pourpre d'un 

    Lilas, d'une lueur d'espoir dans la nuit, debout.

    merci pour ce baume du soir .

    G.

     

     

    2
    Vendredi 22 Avril 2016 à 21:45
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