• Du Campement, le 180 914

    Ma chère Frangine,

    Dans le vent
    et l'été
    l'intensité
    et le présent.
    Toutes les cartes, les anges, les oracles, disent la même chose à chacun,
    Le Chercheur résume : c'est la maison du lâcher prise.
    C'est peut-être pour cela qu'il se fait une fièvre, il tremble de froid et a le front brûlant.
    (Coloc Bingo et moi sommes des infirmiers du strict minimum)
    Tu écris que lorsque tu pleures tu te sens plus humaine, je te ferai dire que c'est le rire qui nous est propre.
    Cela noté, de quelque manière que ce soit, l'important est de lâcher prise…
    Je te vois bien écouter tes plantes pousser dans ton jardin parisien, ici je viens de découvrir un squatteur inattendu et vaillant : un lierre sur le mur du Nord.
    (le lierre au Nord, les tournesols au Sud, si nous sommes créateurs du monde qui nous entoure, son désordre ne vient pas d'ici)
    Que tes rêves te soient doux.
    Bien à toi.

    Liberté, équité, franginité.
    Lady Day, détendue.

    Aujourd'hui c'est poésie en pièce jointe

    P.J. Le signe et l'ascendant

    Je suis l'illettrée
    la sans dent
    la vermine qui grouille
    pour vous servir
    mes bon maîtres

    touchez ma bosse

    (Tacite)


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