• Elle traverse l'été à gué.
    La musique est de Pink Floyd,
    les décors de Roger le costaud.


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  • Toujours existe presque
    Bientôt est relatif
    Jamais, on ne sait jamais.


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  • Au bord de la route,
    une rose trémière,
    royale, digne,
    monument provisoire
    à la beauté et à la solitude.


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  • A une heure du matin, au cœur de la Provence,
    devant un verre de porto,
    applaudir un enfant de la Ruhr né pendant la dernière guerre,
    chantant joyeusement Felicita
    (de Al Bano et Romina Power (qui est la fille de Tyrone Power)).


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  • Le matin rieurs,
    le soir éteints.
    Dix ans en arrière,
    les yeux de ta mère.


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  • Nous sommes ensemble depuis plus de trente ans,
    c'est juste qu'on ne se connaissait pas.


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  • Parfois, un cadeau mi-figue mi-raisin.
    Le présent est l'en-vie, le projet qui se dessine -
    L'aventure qui grandit en soi.
    L'avenir proche, c'est la paix et l'esprit libre remis à bien plus tard.


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  • Par exemple

    J'aime son élégance, sa force, sa bonté,
    sa loyauté, sa transparence,
    sa tolérance, sa liberté,
    sa lumière,
    son intelligence, sa beauté,
    son exigence,
    sa légèreté…


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  • J'ai besoin de ce temps,
    à regarder
    rien.
    En compagnie de la lune,
    ou du vent,
    du chemin.
    Etre seulement dehors,
    dans les odeurs de menthe,
    à regarder
    rien
    et ce qui s'ensuit.


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  • Les erreurs ne se regrettent pas, elles s'assument.
    La peur ne se fuit pas, elle se surmonte.
    L'amour ne se crie pas, il se prouve.

    (Simone Veil)


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  • J'ai un nid de trolls derrière ma lanterne.

    (Zabou – 21h02)


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  • On se fraye un chemin
    dans la braise de l'air -
    le jour nous épuise.
    Qui sommes-nous,
    bien plus vivants la nuit ?


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  • Impossible de dormir, les parois de la caravane chauffées au soleil blanc.
    La chaleur mais aussi ce sentiment, le cœur débordant.
    A la mi-lumière de la lune elle trouve la chaise longue - déçue que la nuit ne soit pas plus fraîche, elle s'allonge et regarde le ciel.
    Tout à coup,

    Lire la suite...


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  • Deux choses apprises aujourd'hui :
    Hannibal est passé à Lioux,
    et Casanis est Corse.

    (Catherine-Madeleine – 20h29)


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  • Les bars c'est dégueulasse,
    Les cacahuètes baisent dedans.

    (Collectif – Apéro du soir)


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  • L'étonnement de J.,
    de voir son dealer
    à Questions pour un champion


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  • Bonne nuit de la journée !

    (Hilly – 6h22)


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  • je ne crois pas que puisse naître quoi que ce soit de bon d'un langage qui refuse. Seule une pensée positive exprimée dans un langage positif est à même de faire émerger un modèle politique nouveau. Je ne crois pas qu'il soit fécond de s'opposer frontalement à ce système rodé. Quand deux corps se heurtent, l'énergie cinétique accumulée par chacun endommage les deux, voire les détruit.

    (Denis Lachaud in Ah ! Ça ira…)


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  • Grand chassé croisé
    héliotropique,
    le feu aux fesses.


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  • Le monde que rêvent ceux qui rêvent n'est pas le monde d'après, n'est pas celui qui adviendra quand adviendra un présent de changement, en lieu et place de ce rêve. Le monde que rêvent ceux qui rêvent est un monde imaginaire, idéal, préservé des paradoxes humains, de la libido qui au présent brouille, bâcle, détruit.

    (Denis Lachaud in Ah ! Ça ira…)


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  • Le réel, somme des mondes dessinés à l'intérieur de la tête de chacun des habitants de la planète, n'a pas seulement changé. Il a muté.

    (Denis Lachaud in Ah ! Ça ira…)


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  • A marée basse, je vais aux poules.

    (Fidel – 23h46)


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  • Les jeunes filles, parfois franchissent des frontières -
    dont elles ne reviennent pas.
    Prononcer leur nom de fruit,
    la grâce qu'elles laissent derrière elles.


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  • En attendant les géomètres,
    les plans tirés, il faut les boire.


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  • Émotionnelle introvertie disent-ils.
    Elle, leur demande de réfléchir cinq minutes,
    à ce que serait le monde sans poésie.


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  • A la septième saison, l'hiver est là.


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  • Poussière née de la poussière

    je dis après tant d’autres
    le désarroi d’une présence infime
    qui se sait comptable des étoiles

    Je te salue et te bénis terre
    perdue parmi les nombres
    en ce pouvoir qui m’est donné
    de rendre son nom à chaque fleur

    (Jacques Robinet in Terre à ciel)


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  • Si je conjugue la résilience,
    je me résilie ?


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  • Sic

    La joie, seule vraie victoire sur le monde.

    (Cioran)


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  • C'est comme une illusion d'optique,
    une allégorie humaine,
    il brasse l'air avec tant de conviction –
    qu'il semble immobile.


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