Il serait logique autant que délicieux d'accompagner chacun des livres édités par "La boucherie littéraire" d'une tranche de bavette, d'une entrecôte ou d'un beau biffetèque. Il va de soi que l'ajustement du prix s'imposerait.
Moi, les bouchers, je les aime avec la blouse ensanglantée. Au moins. Et vive le gars Lardo, bordel de dieu !
Vous seriez bien aimable (avec ou sans accordéon) de transmettre au principal intéressé ce desideratum, non sans lui avoir affectueusement serré la pogne.
Il serait logique autant que délicieux d'accompagner chacun des livres édités par "La boucherie littéraire" d'une tranche de bavette, d'une entrecôte ou d'un beau biffetèque. Il va de soi que l'ajustement du prix s'imposerait.
Moi, les bouchers, je les aime avec la blouse ensanglantée. Au moins. Et vive le gars Lardo, bordel de dieu !
Vous seriez bien aimable (avec ou sans accordéon) de transmettre au principal intéressé ce desideratum, non sans lui avoir affectueusement serré la pogne.
Mes hommages, gente dame.