• Demain, presque aujourd'hui,
    saut quantique
    disent les mystérieux,
    changement d'heure et de vibration,
    douche de lumière,
    s'éveiller dans le monde nouveau
    -  poésie à tous les étages.


    votre commentaire
  • Entendu sur la toile

    Un futur que nous pouvons changer à chaque instant


    votre commentaire
  • Le hasard fait que je viens de lire plusieurs romans d'écrivains en place,
    ceux dont on parle à la télé, dans Lire et Télérama.
    Dans chacun d'eux, l'auteur est subjugué, mot pour mot,
    par  la façon d'être au monde de son héroïne.
    On les a obligés ?


    2 commentaires
  • Ecrire sous l'arbre
    au soleil
    comme revenir
    fondamentale

    Fillette veut être émerveilleuse
    lorsqu'elle sera grande

      

     


    votre commentaire

  • votre commentaire
  • Ne pesez pas plus qu'une flamme et tout ira bien

    (Henri Michaux)


    votre commentaire
  • Jusqu'à ce que l'intelligence
    généreuse
    arrive au pouvoir.


    1 commentaire
  • Utile ou pas ?

    Tenir compte des choses
    auxquelles on ne pense pas.


    votre commentaire
  • Parfois, au cinéma

    Les acteurs jouent très bien, les images sont travaillées, le dialogue est bien écrit,
    je voudrais juste comprendre à quoi sert ce film.


    votre commentaire
  • Réel ou pas réel ?


    votre commentaire
  • Chaque matin

    Le souffle revient
    affranchit la page
    et le vertige
    libère la nuit
    puis vaque
    aux coups de coeur


    votre commentaire
  • Soif

    Poésie peau nue
    Vêtue seulement
    De vent.

    (Michèle Finck in Ce qui reste)


    votre commentaire
  • Rappel

    Un livre est manqué si le lecteur en sort intact.

    (André Gide)


    votre commentaire
  • Extrait correspondance en cours

    Je n'ai pas fini de lire Le Poing de janvier, faut dire qu'il est sacrément riche. Tu te doutes bien qu'après la page poésie, l'édito (dans l'ordre), j'ai dévoré le Manifeste pour une vie sans relous, ce combat-là est tellement important, ce sexisme ordinaire. Il ne faut pas le prendre à la légère, vous les garçons ! C'est toute une culture à remettre à jour, et cela compte dans les moindres détails. Toutes les consciences sont requises.


    votre commentaire
  • Si poétique, qu'on en parle jusque dans les blogs à Hong Kong.

    (Coloc Bingo à la cigarette digestive)


    votre commentaire
  • Mauvaise nouvelle pour les Français : la fête est finie. Circulez, il n'y a plus rien à vendre. On a liquidé nos frigos nos ordinateurs maintenant on prend les stocks et on va vendre ailleurs. Et alors quoi ? A part chialer, vous allez faire quoi ? Vous entretuer ? Bonne idée. On a des armes, à vendre. Les gens de son pays sont des imbéciles, des ingrats, et des arrogants. Ça braille dans la rue en se croyant important. Rien. On ne vous entend pas d'où on est. Même pas une rumeur jusqu'à nos oreilles. C'est déjà plié. C'est joué. Agitez vos petits bulletins. On ne vous entend pas, même de loin.

    (Virginie Despentes in Vernon Subutex tome 1)


    votre commentaire
  • Dans la rue

    Faites l'amour pas des heures sup !

     


    votre commentaire
  • - C'est la journée du droit de la femme !
    - Mmouais…elle ferait mieux de prendre le gauche


    votre commentaire
  • Dans le train, je regarde un film où lors d'un voyage en train, quelqu'un raconte un autre voyage en train.
    L'espace d'une seconde, je ne sais plus dans quel train je me trouve.
    Je jette un oeil dehors, tout est blanc, le ciel comme le paysage.
    Perdue dans l'abyme, à 220 km/h.


    2 commentaires
  • Des hommes qui ont fui la misère et l'horreur
    réfugiés dans un pays libre
    cousent leurs lèvres
    pour dire ce que l'on ne dit pas
    dans ce pays libre.

    Lire la suite...


    votre commentaire
  • Offenbourg

    Où l'on dit qu'il fait beau lorsqu'il ne pleut pas.
    Dans le parking souterrain, une zone réservée aux femmes, fort éclairée, proche de la sortie.
    Des bûcherons à barbes blanches à la lisière de la Forêt Noire qui borde l'autoroute.


    Strasbourg

    Où les gueux mendient à genoux, face contre terre, mains jointes.
    Dans le tramway, des bandes de jeunes filles voilées jusqu'aux pieds parlent avec l'accent alsacien.
    A la croisée des chemins, la lune perce parfois les nuages, se reflète dans le fleuve, tandis que les bars déversent trop pleins de bière et rock alternatif.


    votre commentaire
  • L'amour, fillette,
    surtout ne pas l'attendre,
    même pas le vouloir.


    votre commentaire
  • Dans la nuit douce
    parler des disparus
    avec la tendresse
    des reconnaissants


    votre commentaire
  • Mais Allan interrompit les deux frères en leur disant que s'il y avait une chose qu'il avait apprise en parcourant le monde, c'était que les plus insolubles conflits de la planète avaient démarré de cette façon : « Tes bête !  - Non c'est toi qui es bête ! - Non c'est toi ! » La solution était bien souvent de partager une bouteille d'une contenance minimale de soixante-quinze centilitres, puis de regarder vers l'avenir.

    (Jonas Jonasson in Le vieux qui ne voulait pas fêter son anniversaire)


    votre commentaire
  • Fatima de Philippe Faucon,
    intelligence et sensibilité.
    (les deux mamelles du monde nouveau)


    votre commentaire
  • Skype

    On se souvient, lorsque l'on s'envoyait des télégrammes.


    votre commentaire
  • Descartes et désastres déblayés du chemin,
    les cartes et les astres la disent sur sa route.


    votre commentaire
  • Si on se connaissait, on s'épaterait.

    Dans notre cerveau les informations peuvent circuler jusqu'à 500 km/h.


    votre commentaire
  • Ceux qui ne bougent pas ne sentent pas leurs chaînes.

    (Rosa Luxemburg)


    votre commentaire